LA GAILLARDE
présentation du groupe
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| Qui sommes nous ? |
Un zest de chanson, un esprit libre et fondamentalement rock, l’émotion et l’importance des textes, des chœurs et un harmonica toujours à la fête : voilà ce que pourrait être la musique de La Gaillarde. Et si actuellement ce jeune groupe parisien navigue entre rock et chanson, il n’en a pas toujours été ainsi.
Avant l’arrivée en 98, de Cédric (basse) et Paul (batterie), cela faisait déjà plusieurs années que Stephane (chant, harmonica) et Romuald (guitare), 2 copains de lycée, massacraient allègrement les Cure et autres Pixies, repoussant toujours plus loin les limites entre reprise fidèle et improvisation. Dès lors, les choses se précisent, et se dessine enfin un projet plus personnel et abouti. Ils se nomment les "Neighbours’ Week-End" (les voisins ayant beaucoup souffert), et commencent par faire de la pop-rock en anglais.
Puis peu à peu, le groupe s’affranchit de ses influences anglo-saxonnes et assume enfin son répertoire en français. Le verbe s’affine, l’harmonica s’affirme, donnant un certain cachet aux compositions et les morceaux prennent leur envol. L’accueil fait aux chansons en concert incite le groupe à entrer en studio début 2001, pour enregistrer 6 titres. Simplicité, spontanéité, efficacité des morceaux… le groupe travaille. Ils en profitent pour adopter un nom plus en phase avec leurs dernières productions, appelez-les désormais "La Gaillarde" !
Ce 6-titres sera nommé dans l’urgence « Pris entre 2 feux », symbolisant l’ambivalence du groupe : entre rock et chanson, amertume et joie, peurs et envies, douceur et énergie… car La Gaillarde c’est tout cela à la fois. L’accueil de cette démo surprendra le groupe lui-même, les CD se vendent bien, rapidement en rupture de stock. Les radios et la presse musicale soulignent la qualité des morceaux et le soin porté aux textes. Dans la foulée, le label Cosmosonic (Tokyo/Overtones) leur propose même de signer un contrat d’artiste.
Se côtoient alors des titres comme "Mille Ans" qui nous emporte dans un ska endiablé, "Les Affamés" énergique et engagé, "Le Trottoir" qui mêle accents celtiques et noirceur, "L’Eclipse" et "Qu’il me tarde" à l’émotion et aux chœurs entraînants. Question influences, les avis diffèrent pas mal, ainsi quand l’un avoue son amour pour Mano Solo, les autres ne jurent que par les Red Hot Chili Peppers, Joy Division ou Herbie Hancock, chacun essayant alors d’apporter son expérience acquise dans des formations "assez" diverses (Rock, Reggae, Métal, Jazz).
Toujours prêts à mettre l’ambiance sur et en dehors de la scène, les tremplins et festivals leur donnent l’opportunité d’afficher un esprit gaillard et ragaillardisant. Et c’est avec une envie et une spontanéité toujours intactes que nos gaillards se produisent, des bars parisiens à aux Festivals de province (Clermont, Amiens, Bourges, Langres, Rennes). Alors qu’un album complet est sur le point d’être achevé (sortie automne 2003), le titre "A la Fête" est sorti début août sur la compilation ska/festive de l'Askadémie (tirée à 3000 exemplaires), une nouvelle démo (fin 2003) et de nombreux concerts dans toute la France sont en prévision.
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Le groupe est composé de :
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Notre style :
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Paul batterie
Romu Guitare
Ced Basse
Steph chant harmonica
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pop / ska / rock
Influences :
Louise Attaque, Noir Désir, Mano Solo, Hurlements de Léo, Rue Kétanou
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